Selon Fitch Solutions, le marché de soins de santé de l'US$182.9 milliard de la région de Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (MENA) est prévu pour augmenter à US$261.1 milliard avec des 13,6% taux de croissance annuels composés (CAGR) aux taux de change constants traversants à 2023.
La région d'US$30.5 milliard Afrique du Nord signalera des 8,7% CAGR à 2023.
En Afrique du Nord, des efforts importants sont faits depuis les années 80 pour développer le secteur de soins de santé, et les investissements dans l'assurance-maladie, la vaccination, l'accès à l'eau et la meilleure nutrition ont eu comme conséquence la diminution du nourrisson et la mortalité maternelle et la plus longue espérance de vie. Selon la Commission économique des Nations Unies pour l'Afrique (CCE), la combinaison du ‐ de trois facteurs à savoir les changements économiques de socio ‐ rapide actuel, les transitions démographiques menant à l'augmentation de la population juvénile et d'une population qui a commencé le vieillissement (dans la plupart des pays africains du nord, la proportion de personnes 60 âgés de plus de sautera à 20% d'ici 40 ans), et l'évolution du ‐ de modes de vie a provoqué de nouveaux modèles de consommation, nouvelles maladies, et nouveaux besoins qui constitueront des défis aux pays de la région.
Pour surmonter ces nouveaux défis, y compris ceux concernant des inégalités de santé, la CCE considère que les systèmes de santé doivent développer une vision et une stratégie claires, des réformes doivent être faites afin de mettre en application des politiques de financement de santé plus équitable et réaliser la couverture universelle. D'ailleurs, on devrait profiter meilleur du potentiel du secteur privé comme appui au système de santé publique.
Ces réformes impliquent également que les décisionnaires dans la région devraient aborder la question de l'infrastructure et les ressources humaines dans des secteurs de santé (accessibilité et proximité des soins de santé, de la diversification et de l'adaptation des spécialités médicales
aux nouveaux besoins, à la création d'emplois dans les secteurs médicaux et paramédicaux, etc.), selon la CCE.
Source : Knoema
Pendant les dernières deux décennies, des progrès considérables ont été accomplis de la couverture et de la qualité des services de soins de santé en Algérie, avec des indicateurs s'améliorant solidement, à côté d'une baisse dans les exemples des maladies transmissibles, selon le groupe d'affaires d'Oxford. En conséquence, les dernières figures de l'OMS prouvent que l'espérance de vie à la naissance a monté de 68 ans en 1995 à 76,4 ans à partir de 2018.
En dépit de la hausse de l'espérance de vie, les taux de mortalité demeurent relativement hauts bien que les efforts récents d'améliorer le soin maternel et la pédiatrie puissent voir ces la facilité dans les années à venir. En plus du souci concernant des disparités régionales dans les soins de santé, le vieillissement de la population de plus en plus de l'Algérie voit une hausse des maladies chroniques, en particulier diabète, cancers et maladies cardio-vasculaires.
Des soins de santé sont fortement subventionnés en Algérie en conformité avec l'introduction d'un système de santé national en 1975. La plupart des services sont libres pour des citoyens aux hôpitaux publics et aux cliniques, et le coût de la plupart des achats médicinaux est remboursé par le gouvernement. Tandis que la grande majorité d'établissements de santé dans le pays encore sont entièrement subventionnées par le gouvernement, ceci commence graduellement à décaler pendant que le secteur privé se développe.
Quoique l'état soit fortement impliqué dans les soins de santé, il y avait 8400 pratiques en matière privées de spécialiste et 7000 pratiques en matière privées de généraliste à partir de 2015. Ces dernières années un certain nombre d'équipements et de cliniques privés se sont ouverts à travers le pays, en général et le soin spécialisé, alors que plusieurs des établissements privés existants augmentent.
En termes de ressources humaines, le secteur est dédoublé, avec 57% de tous les praticiens enregistrés travaillant dans le secteur public et 43% dans le secteur privé à partir de 2015, selon des figures accentuées par le groupe d'affaires d'Oxford.
Typiquement, les médecins généralistes sont principalement dans le secteur public, alors que des spécialistes et les dentistes sont dédoublés relativement également. Réciproquement, la grande majorité de pharmaciens travaillent dans le secteur privé.
Les transferts des patients à l'étranger ont diminué de 90% depuis 2000, reflétant les améliorations considérables qui ont eu lieu dans le système domestique. Cependant, un grand nombre d'Algériens vont chercher toujours à l'étranger des traitements médicaux plus complexes. La France a accordé 1600 visas médicaux pour les citoyens algériens en 2014, et on l'estime que beaucoup plus d'Algériens visitant la France sur des visas de touristes cherchent des traitements médicaux tandis que là. Un nombre considérable de touristes médicaux algériens voyagent également en Tunisie, au Maroc et en Turquie.
Selon l'analyse du groupe d'affaires d'Oxford, la combinaison, indicateurs de santé amélioraient grâce à la planification stratégique de gouvernement et ont continué la couverture répandue des soins de santé pour des citoyens. De plus, occasions pour
la croissance et l'investissement de secteur privé sont forts, en particulier dans l'industrie pharmaceutique ; cependant, la finalisation des réformes et aborder des soucis persistants des dépositaires seront principales à assurer le progrès visé a lieu.
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